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Stress chronique et hyper sollicitation de nos surrénales : comment retrouver l'énergie ?

Dernière mise à jour : 18 déc. 2021


Et si c’était vos surrénales ?

Si vous ne connaissez pas l’expression “sauve qui peut”, vos glandes surrénales, elles, la connaissent très bien. Ces dernières sont responsables de tenir votre corps en alerte lorsque celui-ci est sous attaque ou a la perception d’être en danger. C’est à ce moment que l’hypothalamus, la glande pituitaire et les glandes surrénales se mettent en action.

Le processus est le suivant : l’hypothalamus envoie un message à la glande pituitaire qui à son tour envoie un message aux glandes surrénales : nous sommes en état de stress. Les surrénales produisent à l’instant les hormones cortisol et épinéphrine (ou adrénaline) qui augmentent notre taux de glycémie, notre rythme cardiaque et notre pression sanguine. En quelques secondes seulement, notre corps est prêt à affronter le stress imminent : le fameux “sauve qui peut”.

Il est l’un des mécanismes de défense les plus efficaces du corps humain et était d’une importance capitale lorsqu’il s’agissait d’affronter un prédateur redoutable ou d’aller chasser le mammouth pour le souper du soir. On parlait alors de stress occasionnel.

De nos jours, nos vies actives et surchargées nous placent malheureusement en état de “survie” de façon régulière ce qui maintient nos trois organes cités précédemment en production constante de cortisol et d’adrénaline ce qui conduit à l’épuisement de nos glandes surrénales.

Dans les cas de stress occasionnel, comme notre fameuse chasse au mammouth, les glandes peuvent facilement rebâtir leurs stocks de cholesterol et de progesterone nécessaires à la fabrication de cortisol et d’adrénaline mais, en état de stress prolongé, les glandes s’appauvrissent et s’épuisent. C’est cet épuisement qui est responsable d’une foule de symptômes souvent diagnostiqués incorrectement.


La découverte de l’épuisement des surrénales

L’origine du terme “épuisement des surrénales” remonte à 1998 lorsque le docteur James Wilson, alors chiropraticien et naturopathe, remarque une similitude au niveau des symptômes de certains de ses patients souffrant de fatigue. Jusqu’en 1998, on parlait plutôt de surrénales apathiques ou insuffisantes.

Le lien entre la fatigue et les surrénales date des années 1800 lorsque les médecins constatent une baisse simultanée du niveau de l’énergie, de la libido et du système immunitaire de leurs patients. À cette époque, les médecins en savaient très peu sur les surrénales.

C’est le docteur Thomas Addison qui, en 1849, présente sa recherche sur “l’état d’anémie général de ses patients mâles” (d’où la maladie d’Addison: insuffisance des surrénales) à la “South London Medical Society”. Cette présentation sera le début d’une série d’études sur le sujet. À la fin du 19e siècle, on utilise même des extraits de cellules surrénales porcines pour traiter la maladie d’Addison. Même si les premiers résultats furent plus ou moins convaincants, le corps médical persiste. Résultat : le traitement est, à ce jour, encore utilisé.

Il a fallu plusieurs années au corps médical avant d’atteindre un consensus sur ce qui méritait le diagnostic de fatigue ou d’épuisement des surrénales. Aujourd’hui encore, il n’est pas toujours évident.


Qu’est-ce que les glandes surrénales ?

Productrices d’hormones, les surrénales sont de petites glandes juchées sur chacun de nos reins. De petite taille, elles mesurent environ 6 cm par 2.5 cm, sont jaunâtres et ne sont étonnamment pas symétriques : la surrénale de droite est de forme triangulaire et la gauche ressemble plus à une demi-lune. Leur nom, surrénales, vient du latin ‘ad renes’ qui signifie près des reins sur lesquels elles ont un impact direct.

D’une structure fort simple, telle un avocat, chacune des glandes est composée de trois éléments: La capsule, le cortex et la médullo-surrénale.


La capsule est l’enveloppe adipeuse qui protège chacune des glandes comme la “peau” de l’avocat.


Le cortex peut être comparé à la partie intérieure, la pulpe, de l’avocat. Il représente 80% de la glande et couvre entièrement sa partie centrale : la médullo-surrénale. Il est, entre autres, responsable de la production des hormones sexuelles chez l’homme et la femme. Il contrôle également le niveau de cortisol : hormone essentielle pour le corps humain.

Le cortisol est responsable de nos cycles de sommeil/éveil, il contribue à réduire l’inflammation, nous aide à transformer en énergie les aliments ne contenant aucun hydrate de carbone et régularise aussi notre pression sanguine.


La médullo-surrénale se trouve tout au centre, tel le noyau de l’avocat, et occupe 20% du volume total de la glande. Tout aussi importante que le cortex, cette dernière est surtout responsable de maintenir le niveau d’efficacité de notre corps. Elle est responsable de la façon dont nous gérons le stress en produisant trois neurotransmetteurs: l’adrénaline, la norépinéphrine et la dopamine, tous essentiels pour notre survie lors de situations “sauve qui peut”.


Les 4 étapes de l’épuisement des surrénales

Afin de bien cibler un état d’épuisement des surrénales, il est important de comprendre les quatre étapes suivantes :


Étape 1 : L’alerte occasionnelle


Il s’agit de la première réaction du corps en présence d’un stress potentiel ou imminent : ce stress peut passer de la menace physique à l’entrevue pour un nouvel emploi ou une visite à l’hôpital. Durant cette première étape, le corps n’a aucune difficulté à produire les hormones nécessaires pour répondre à la situation. Si vous procédiez à une analyse de laboratoire durant ce moment précis, vos résultats indiqueraient des niveaux élevés d’adrénaline, de norépinéphrine, de cortisol et de DHEA. Vous êtes alerte mais pourriez remarquer des dérangements au niveau de votre sommeil. Peu de gens considèrent ces symptômes comme inquiétants puisqu’il nous arrive fréquemment de passer par cette étape dans la vie de tous les jours. Aussitôt le stress passé, le corps retrouve son équilibre.


Étape 2 : Maintien de l’alerte


Si le stress persiste, le corps se maintient en état d’alerte. Durant cette deuxième étape, il est toujours possible pour le corps de produire les hormones nécessaires pour répondre à la demande mais les surrénales commencent à emprunter la progestérone et la testostérone du système de reproduction pour les convertir en cortisol et ainsi répondre aux besoins énergétiques de l’organisme.

Un symptôme courant est de se sentir alerte au travail lorsque vous devez maintenir un état de productivité mais de sentir une baisse d’énergie dès que notre corps se relâche. C’est souvent à cette étape que les gens développent une affection (dépendance) pour le café ou les sucreries (comme faux stimulant - car ceux-ci épuisent le corps à la longue) !


Étape 3 : La résistance


À cette étape, le système endocrinien continue de favoriser la production d’hormones de stress aux hormones sexuelles - le corps peut percevoir des niveaux normaux d’oestrogène comme étant élevés en raison du taux encore plus faible de testostérone et de progestérone créant ainsi un déséquilibre hormonal important qui est souvent lié à la prise de poids et aux problèmes d’humeur. La personne atteinte maintient son efficacité au travail et un train de vie normal mais peut remarquer une fatigue généralisée, un manque d’enthousiasme, des infections récurrentes, une baisse de libido et des symptômes de la ménopause chez les femmes. Cette étape peut se poursuivre sur plusieurs mois voire même plusieurs années.


Étape 4 : Le “burnout”


Après un certain temps, le corps épuise ses capacités de production d’hormones et son niveau de cortisol chute. Le “burnout” survient lorsque le corps a été maintenu en état d’alerte et de stress durant une très (trop) grande période. Cette dernière étape vers l’épuisement des surrénales est caractérisée par une fatigue extrême, une libido inexistante, de l’irritabilité, un état dépressif et anxieux, de l’insomnie, une perte de poids (si perte d’appétit), de l’apathie et un désintéressement général de la vie. Dans un état de stress prolongé, le corps peut stimuler la glande thyroïde pour activer le métabolisme afin de fournir de l’énergie pour répondre aux exigences du stress. Sur le long terme, celle-ci sera incapable de maintenir le métabolisme normal du corp s: corps, mains et pieds froids et prise de poids sont quelques-uns des signes d’une thyroïde épuisée. Pour beaucoup d’entre nous, ces deux glandes sont fatiguées. Ce “manque” hormonal a des répercussions sur tout le corps. Soigner un “burnout” requiert temps, patience et souvent, un réaménagement complet du rythme de vie.


Dans la suite de notre dossier sur les surrénales, apprenez à identifier les symptômes les plus courants d’un épuisement des surrénales et ses impacts sur votre santé.


Comment reconnaître un épuisement des glandes surrénales


Il est souvent difficile de diagnostiquer adéquatement un épuisement des glandes surrénales car les symptômes peuvent souvent appartenir à d’autres conditions physiques. Il aura fallu des années à vos glandes surrénales pour s’épuiser : une mauvaise alimentation, trop de stress, un manque de sommeil, les produits chimiques et la pollution, les maladies chroniques, les traumatismes et des stimulations constantes ont contribué lentement mais sûrement à cet épuisement. Certaines manifestations d’un épuisement des glandes surrénales sont indéniables tandis que d’autres méritent une recherche plus approfondie.


La fatigue :

Directement liée à l’épuisement des glandes surrénales, la fatigue est sans conteste le symptôme le plus répandu et le plus important. S’il vous faut une tasse de café ou deux (ou autres stimulants) pour vous réveiller le matin ou vous sortir de votre torpeur d’après-midi, vos glandes surrénales pourraient être en cause. Cette fausse dose d’énergie que l’on retrouve avec le café est malheureusement, à long terme, un couteau à double tranchant. Le café étant un irritant - et non un stimulant - il vous donnera cette dose d’énergie artificielle qui en retour épuiseront un peu plus vos glandes surrénales.

Les fringales et les stimulants artificiels : Il n’y a pas que le café qui se retrouve dans la catégorie des stimulants artificiels : les sucreries, le chocolat, le pain, les pâtes, les pâtisseries, tous se transforment facilement en glucose et ce dernier est rapidement assimilé par le corps.

Dépression / Anxiété / Humeur changeante / Sommeil :

  • Votre vie surchargée vous semble lourde et difficile à porter ?

  • Vous vous sentez souvent, voire même toujours, dépassée par les événements même en libérant votre calendrier ?

  • Votre humeur est instable et vous ne vous reconnaissez plus ?

  • Vous remarquez un état anxieux à des situations qui ne vous auraient nullement affectée dans le passé ?

La dépression, l’anxiété, une humeur changeante et un sommeil perturbé ou absent sont quatre symptômes directement liés à l’épuisement de vos glandes surrénales car celles-ci ne peuvent faire la différence entre le stress mental ou physique : tous deux sont égaux dans leur toxicité. Qui dit stress dit accident, divorce, boulot, inquiétudes financières, régimes, douleur, activité physique excessive, malbouffe, famille, menstruations… la liste est longue et petit à petit, les surrénales s’épuisent.

Souvenez-vous de notre chasse au mammouth du premier volet : le corps peut facilement se rebâtir suite à un stress occasionnel mais ne peut soutenir un état de stress permanent.


L’épuisement des glandes surrénales sur la ménopause / l’andropause :

Normalement, à la ménopause ou l’andropause, ce sont les glandes surrénales qui prennent la relève et qui font en sorte que cette transition importante soit facile et passe presqu’inaperçue. Par contre, si vos symptômes sont importants (chaleurs, humeur instable, diminution de la libido, etc.) c’est que vos surrénales n’ont plus ce qu’il faut pour se mettre à la tâche.


Les symptômes suivants ne sont pas directement liés à l’épuisement des glandes surrénales mais mériteraient d’être vus de plus près:


Prise de poids / Cholestérol :

Lorsque vos surrénales sont trop faibles, elles ne peuvent plus produire cet anti-inflammatoire naturel qu’est le cortisol et abaisser votre taux de stress avec l’adrénaline. Résultat : vous prenez du poids progressivement. De plus, ce surplus s’installe au niveau du ventre afin de mieux protéger vos organes vitaux en stockant les toxines et l’acidité dans les gras.


Hypoglycémie / Diabète / Manque de concentration :

Comme pour la prise de poids, l’hypoglycémie et le diabète sont étroitement liés au stress. Par exemple, un diabète peut se développer à long terme dû à un taux d’insuline régulièrement élevé qui lui, entraîne une résistance du corps à cette même insuline.

Les maladies inflammatoires :

Vous souffrez d’eczéma, d’arthrose, d’arthrite ou de rhumatisme ? Toutes sont des réactions inflammatoires du corps. Tout comme les symptômes vus précédemment, votre corps a besoin de cortisol, qui lui a besoin de vos glandes surrénales pour le produire.

Comment redonner vie à vos glandes surrénales

Il aura fallu du temps pour que vos glandes surrénales s'épuisent. Ainsi, une réhabilitation de celles-ci vous demandera détermination, patience et une sérieuse remise en question de votre mode de vie avec en tête de liste, votre alimentation et votre habileté à gérer le stress (priorités, état d'esprit, activité physique...).


Suivent ici quelques recommandations pour débuter une remise en forme de vos glandes surrénales.

Mangez mieux :


Un régime alimentaire approprié peut faire des miracles dans la bataille contre le stress. Une alimentation riche en aliments entiers, non transformés, permettra au corps de rétablir l'équilibre dans ses niveaux de cortisol, d'insuline et autres hormones.


Réduisez au maximum, ou éliminez complètement, votre consommation de stimulants tels le café, les boissons gazeuses, l'alcool et les sucres raffinés (stress supplémentaire pour les glandes surrénales).



Attention aussi aux produits laitiers, au soja (lié au dysfonctionnement thyroidien), au gluten (un inflammatoire pour beaucoup de gens) et aux aliments transformés (les agents de conservation et les saveurs ajoutés affaiblissent notre corps et nos cellules). Choisissez plutôt les fruits, les légumes de toutes les couleurs ainsi qu'une variété de verdures (laitues, chou frisé et autres), les noix, les graines et les céréales entières sans gluten.


Maintenez un horaire de repas régulier et évitez de trop manger. Reprenez contact avec les signaux de votre corps et arrêtez-vous lors des premiers signes de satiété. Mangez lentement en mastiquant bien vos aliments. Faites de votre repas un moment privilégié en laissant de côté cellulaire, télévision et autres distractions.

Stressez moins :

À sa plus simple expression, le stress est une idée, une perception de menace, même lorsque celle-ci n'est pas réelle. Le stress n'est pas quelque chose qui nous arrive mais bien quelque chose qui se passe en nous. Si, par exemple, vous vous inquiétez de votre prochaine évaluation au travail qui aura lieu dans quelques jours; Même si cette rencontre n'a pas lieu ici et maintenant, votre corps ne fait aucunement la différence et se met déjà en état d'alerte.


Quelques pistes pour mieux gérer le stress :

1. Pas de vie sans oxygène. En état de stress, la respiration devient courte et saccadée au niveau de la poitrine privant ainsi le corps de l'oxygène qu'il a besoin pour fonctionner de façon optimale. Prenez de longues et profondes inspirations abdominales; en état de paix la respiration du corps se situe au niveau du ventre. Constatez la différence. Une respiration profonde permet d'activer le nerf vagal (aussi connu comme le nerf de la relaxation et du bonheur).


2. Bougez. Voilà une autre façon d'augmenter votre apport en oxygène de façon active. L'être humain a été conçu pour bouger. Un corps immobile ne signifie pas un esprit immobile; celui-ci "bougera" toujours. L'activité physique est un anti-dépresseur naturel car il augmente les taux d'endorphines et de dopamine (les hormones du bien-être et du plaisir). Variez l'intensité: marchez, courez, faites de la musculation, de la corde à danser... amusez-vous! Votre corps et votre niveau de stress ne s'en porteront que mieux.


3. Dormez. Votre corps a besoin de 8 heures de sommeil pour effectuer son grand ménage. Ces quelques heures, le tiers de votre journée, sont nécessaires pour régénérer vos cellules. N'hésitez pas à faire une sieste si votre nuit est plus courte.


4. Relaxez. Vraiment. Regarder la télévision en prenant un bon verre de vin à la fin de la journée de travail n'est pas vraiment perçu par le corps ou l'esprit comme de la relaxation. Essayez plutôt de passer du temps en nature, de pratiquer la méditation ou un yoga lent ou de vous laisser bercer par une musique douce ou prenez le meilleur bain anti-stress qui soit :

Ajoutez à un bain très chaud: 2 tasses de sels d'Epsom (qui contient du magnésium, relaxant par excellence), 1/2 tasse de bicarbonate de soude et 10 gouttes d'huile essentielle de lavande (pour abaisser le niveau de cortisol). Trempez 20 minutes et rincez bien. Relaxation garantie !


5. Essayez de nouvelles activités. Apprenez une nouvelle discipline telle le yoga (il y en a plusieurs variétés - du plus "zen" au plus intense), offrez-vous un massage, contemplez le coucher du soleil... Les possibilités sont infinies. Surprenez votre esprit qui sortira de son engrenage régulier (potentielle source de stress).


6. Créez et entretenez des liens. Une communauté et un entourage positifs sont de puissants alliés dans votre lutte contre le stress. Passez du temps en famille, discutez entre amis, faites de nouvelles connaissances, amusez-vous !


7. Vivez le moment présent ! Le moment passé n'est plus et vous inquiéter d'un futur lointain ne fera qu'augmenter votre niveau de stress. Lisez "Le pouvoir du moment présent" d'Eckhart Tolle pour vous inspirer.


8. Identifiez les irritants qui pourraient donner l'illusion à votre corps que vous vivez une période de stress tels la toxicité, l'hyperacidité et une mauvaise élimination.


9 . Prenez rendez-vous avec votre naturopathe et informez-vous sur les suppléments qui pourraient nourrir ou aider à renforcir vos glandes tels la teinture ADR d'Actumus ou les extraits glandulaires TADS de Genestra.


10 . Devenez spectateur de vos pensées et réactions. S'inquiéter est toxique pour le corps. Si vous vivez une situation stressante, arrêtez-vous, prenez une grande respiration et prenez conscience des pensées qui vous habitent. Prenez du recul face à cette même situation et choisissez de réagir autrement qu'à votre habitude. Notez la différence.


11 . Faites la liste de vos priorités. Reconnaissez quelles sont les habitudes malsaines ou toxiques du quotidien et choisissez-en une ou deux que vous pourriez mettre de côté pendant un moment (ou pour toujours!). Ne visez pas la perfection (un autre insidieux facteur de stress)! Décider de tout chambouler du jour au lendemain ne fera qu'ajouter à votre niveau de stress. Un seul changement, tel réduire à une seule tasse votre consommation quotidienne de café, peut avoir un impact sur votre corps.


Réduire le niveau de stress dans une vie peut vous paraître comme une tâche monumentale. Cependant, les bienfaits que vous en retirerez en changeant une, deux ou plusieurs de vos habitudes seront tout aussi impressionnants. Apprenez à vous connaitre si ce n'est déjà fait, assurez-vous d'être bien dans votre corps, votre tête et dans vos choix, c'est VOTRE route vers la santé.


Pour prévenir les effets du stress je conseille :


 

Article écrit par l'équipe du site https://vitacru.com

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